L'écriture♥

Le bonheur, on la tous connu au moins une fois dans ça vie; que se soit que avec ses parents, avec la personne que l'on aime, avec ses amis. Mais jamais seul. Le bonheur ça se partage, ça ne se vie pas seul. C'e n'est pas qu'un sentiment, pas qu'une humeur, c'est une période dans sa vie, quelque chose qui n'est pas définitif. C'est bien ça le problème. Ca me rappelle un film assez bien. Vos connaissez peut être : Into the Wild. J'aime beaucoup la moral du film, le héros pense que le bonheur est de vivre dans la nature, à l'aventure, seul, mais à la fin il en meurt car il n'a personne pour le sauver, il se rend compte que le bonheur se partage, qu'il a fait une erreur. En faite le bonheur c'est contagieux. C'est un virus. C'est une vague, qui s'écrase et ne vie plus, mais il en a toujours une autre quoi qu'il arrive. Deux vague rassemblées en forme une autre un peu plus grande et ainsi de suite. On se rend vraiment compte que l'on nage dans le bonheur que lorsque cela se termine. Quand on se dit que c'était tellement mieux avant : après une rupture, après une séparation, après des adieux, pendant une période de malheur. Avant et après cette vague ,que tous le monde attend patiemment, il y a toujours une période de tristesse, une période pas simple à vire, mais on y peux rien. C'est comme ça, c'est la vie, c'est pas demain que ça changera. C'est pas si mal parce que après tous, si on serais toujours heureux on s'en rendrait pas compte. Ce serait la routine. Tous ce que j'ai à dire, c'est de vivre votre vie au jour le jour de vous dire que chaque jour est unique, que il n'y aura peut-être pas de lendemain. Vivez comme si chaque jour était le dernier. Vivez sans vous posez de questions. Vivez sans avoir peur du lendemain. Le bonheur s'ouvrira à vous. Il s'ouvrira à chacun de nous même si il ne dure pas longtemps, même si on ne s'en rend pas compte. Ouvrez les yeux et vous vous rendrez compte de la chance qu'on a et vous verrez peut-être que la vie est belle malgré ses imperfections. Entourez vous de visage heureux car ne l'oubliez pas le bonheur est contagieux. 


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Je serais allée sur le pont, je me serais isolée dans un coin. J'aurais pris un bout de papier et écrit un texte sur la façon dont j'allais mourir. Je n'aurais pas paniquée. Je n'aurais pas pleurée, peu être un peu quand même. Je serais rester avec ma mère. Elle aurait essayé de trouver une solution, je lui aurais de laisser tomber, que je préférais mourir noyée, d'un coût que de geler peu à peu. J'aurais regardée les gens s'agiter autour de moi. J'aurais écris :  
-Je ne pensais pas que j'allais mourir comme ça, mais maintenant, il n'y a plus d'issue. Je ne m'affole pas, je préfère rester dans mon coin à me rappeler des moments les plus heureux de ma vie. J'ai eux, durant mon petit bout de vie, la chance d'avoir la plus merveilleuses des mères et je lui en suis très reconnaissante de ce qu'elle a fait pour moi; elle est l'être que j'aime le plus sur cette maudite terre. Tous les gens s'affole. Ca ne sert à rien puisque de toute manière ils vont mourir. Je pense a mes amis. Comment il réagirons quand on leurs annoncera que je ne serais, dans quelque minutes, plus de ce monde. Que sera la vie futur sans moi ?! Au fond, ça ne m'inquiète pas la mort. Je l'ai toujours imaginai comme un long sommeil qui ne se terminera jamais. JAMAIS. Une larme coule, je pense à tous ce que je n'aurais pas eus la chance de connaître. Je n'aurais pas eus la chance, de savoir comment notre histoire se terminerais. Je me rends compte, vraiment, que je t'aime. Est-ce que cela te feras quelque chose d'apprendre ma mort ?! J'espère. Enfin, oui et non. J'espère pour moi que tu seras triste, que tu rends compte que tu as laissé passer ta chance, que maintenant tu pourras plus me rattraper. Mais je veux plus que tout que tu vives ta vis heureux. Que toi sois le garçon le plus heureux. Que tu trouves l'amour. Mais maintenant je ne te reverrais plus, et c'est bien dommage car je n'est pas eus le temps de te dire aurevoir, que je ne t'es pas tous dis sur mes sentiments. Tant pis ! Je ne verrais pas non plus mon frère et ma soeur grandir. Je ne pourrais pas dire à mes enfants et petits-enfants comment c'était à mon époque, que nous, les jeunes aimions la musique, et les films d'amours. Que à notre époque on croyait encore à l'amour, qu'on était con. Mais malheureusement je n'aurais pas la chance de faire la moral à qui que se soit. A part à moi même, et ceci maintenant. J'aimerais tellement que tu sois là près de moi; que tu me dises que tu m'aimes, et puis que tu m'embrasses, comme dans les films d'amours, que tu m'embrasses avec beaucoup de romantisme, en me disant que tu vivras ta vie à fond, chaque jours. Que tu me promettes que tu vas t'en sortir, juste pour moi. Mais là je rêve. Et je dis merde, c'est comme ça que je me rassure en rêvant, au moins ça fait pas de mal ! Le bateau coule de plus en plus, c'est les dernières lignes de ma vie que j'écris, mes dernières pensées. Je rajoute que j'ais rencontré des gens formidables dans ma vie, qui bientôt va se terminer, et que je ne les oublierais jamais, JAMAIS. J'ai bientôt la réponse à la question que l'on se pose tous. Qu'y-a-t-il après la vie ? Hélas, quand je le serai je ne pourrai plus vous le dire. Les dernières barques se remplissent, tous les Hommes restant sur le bateau se bousculent près à s'entre tuer. Moi je ne bouge pas, j'attends la fin. C'est toujours comme ça que j'ai pensé à la façon dont j'allais mourir, quand je regardais les films de tragédies, je n'essayerais pas de m'en sortir. C'est ce que je fais, de toute façon je serais morte un jour ou l'autre et peu m'importe la manière. J'espère que quelqu'un lira ce texte pour que je n'ai pas écris pour rien. Mais bon ça vide l'esprit avant ce sommeil si long que j'attend. L'eau monte, elle arrive bientôt à moi. Je vous dis adieux. 
Voilà ce que j'aurais écrit. Pas très gai mais sincère. J'aurais mis cela dans une bouteille. Et je serais parti sans crier. J'aurais surement été dans les bras de ma mère, ou je lui aurais tenu la main. Et je lui aurais dis qu'elle était ce que j'avais de plus chère au monde. Et puis je me serais endormie, longtemps, très longtemps...